18 septembre 2005

A bonne école


Les références qui dans une vie, influencent les croyances, les inclinaisons, les comportements et même le caractère, ne sont pas toujours faciles à reconnaître.
Certaines s'imposent alors qu'elles se présentent de façon très anecdotique et - pour ce qui me concerne- assez souvent cathodique.


Après quelques bases acquises auprès de Samantha Stevens, MA sorcière bien-aimée, mon éducation cathodique a été freinée sous le pretexte que l'on apprend à l'école et dans les livres.

Heureusement, au cours de ces années difficiles entre Primaire et Lycée , des émissions comme"Au théatre ce soir "m'ont permis de poursuivre incognito une formation éclectique.

Je n'avais plus aucun souvenir des tenants et aboutissants de "La facture".
On ne peut pas dire que la pièce soit un très grand moment de théatre. Dans la version enregistrée et commercialisée aujourd'hui, les acteurs s'époumonnent et bafouillent, les répliques s'enchaînent
plus ou moins bien...
Mais en la revoyant, plus de trente ans après, j'ai bien retrouvé la leçon que j'y avais péché : Le bonheur ne va pas sans le malheur et c'est la façon de voir sa propre vie qui fait que l'on est heureux...ou pas.
A part ça, je me souviens vaguement de "Le noir te va si bien " avec Jean Le Poulain et Maria Pacôme...Petits meutres entre époux me semble-t-il...
Eclectique, la formation...






2 commentaires:

Anonyme a dit…

oui, ils s'époumonnaient mais moi cela me faisait bien rire ! merci pour ce flash back de Roger Harth et Donald Cardwell ... cette petite pensée pour le noir te va si bien où le duo excellait s/ les "monsieur & madame" ont un fils / une fille ...

souvenir ... souvenir ...

Madame V a dit…

Elle ne serait pas en plein trip nostalgie missiz Jones ?