31 décembre 2007

Depuis un peu plus de quinze jours, nous faisons comme si ce n'était pas vrai.
Hier, tout de même, nous avons regardé les choses en face : sa bizarre maladie est revenue.
Ni la méthode coué, ni le repos et le bon air du midi n'ont eu raison de sa progression.
Ce soir, nous avons renoncé au restau pour le réveillon.
Heureusement, à minuit, on saura trouver sans problème un "meilleur voeu" pour elle et moi.
Et demain, SuperMiss commencera l'année en pleine forme.
A ceux qui passent par ici, par hasard ou par habitude,
nous souhaitons une très belle et heureuse année 2008.

16 décembre 2007

Famille de stars







Un petit coup de main aux journalistes qui ne savent pas toujours

repérer les vrais talents...

Et un grand merci à Anne(ici) qui remercie Mry(là) pour cette découverte.

Edito du 17/12 13h : Ce billet a été rédigé avant que ne soit révélée la très prochaine Une de nos magazines "d'information": TopMickey et MaxieTop à Fantasyland.

13 décembre 2007


De la case "1er entretien" avec le chasseur de têtes,
je suis passée à la case "deuxième entretien" avec les organisateurs du safari.
Ils cherchent une tête pour compléter leur collection.
Une tête bien pleine, de laquelle on peut prélever des bouts de matière grise tous les jours sans qu'elle s'épuise.
Un tête qui revient à tout le monde mais qui ne revient pas cher.
Ils n'en veulent donc pas à mon foie,
mais on continue le jeu de l'oie.
J'en saurai plus, si je passe à la case suivante, en janvier.

07 décembre 2007

Il y a un peu plus d'un an, on faisait la cueillette des olives tous ensemble.
Il y a 6 mois, on chantait à tue-tête Polnareff, qu'il avait vu en concert la veille.
Il y a deux mois, il m'expliquait comment prendre soin de mon cadeau, une jolie plante, lors du "dîner de rentrée" devenu l'occasion-surprise de fêter mon anniversaire en même temps que celui de son fils.
Et soudain, elle le quitte, révélant à demi-mots l'alcoolique, le jaloux, le violent, derrière le bon-vivant, le charmeur, l'expansif. Même sous le choc, on sait qu'elle a raison, qu'elle ne peut plus rien faire, qu'il est allé trop loin. Comme elle, on espère que le temps apaisera une folie que l'on veut passagère même s'il semble s'y complaire, furieux et fier.
On se dit qu'on fera signe, lorsqu'il ira mieux. On le croisera peut-être dans le quartier, dans la journée, puisqu'il est tout nouveau retraité.
On lui dira des mots d'apaisement et on l'encouragera à tout faire pour regagner la confiance de son jeune fils.
On lui dira qu'il n'est pas trop tard.
Mais il est trop tard.
Hier soir, il est allé sur son balcon au dixième étage, et il s'est jeté dans le vide.