18 octobre 2005

L'enfer du jeu

Maintenant que je dépense nettement moins de jus de méninges à l'usine, j'accepte plus volontiers, en rentrant à la maison, d'agiter un peu mes quelques neurones survivants. Petite Miss est une redoutable adversaire et il y a belle lurette que je ne la laisse plus gagner de temps en temps pour booster sa confiance en elle. Je me contente d'applaudir des deux mains à ses victoires ( même lorsque je suis véxée comme un pou) en espérant que ces moments la préparent aux redoutables affrontements des fauves et reptiles qui l'attendent dans la société de la peur.

1 commentaire:

Madame V a dit…

Souhaitons surtout à Petite Miss d'évoluer dans un autre genre de société, c'est pas les dents de la mer partout !

Merci Missiz Jones sur le soutien on-line pendant l'appel pénible de 18h30, j'en ai bavé de rire dans le téléphone ! Sachant que l'éloignement modère considérablement la pénibilité, c'est un des bons aspects de vie Boulonnaise !