Absurde comme j'aime...

Prodige

Certes, elle est de plus en plus autonome. Certes, elle grandit.

Mais c'est encore une enfant : la preuve.

Elle est restée absolument fascinée par ce spectacle "unique", "extraordinaire", "rarissime"comme elle l'a souligné avec un brin d'hystérie dans la voix.

J'ai proposé de faire une photo de cet évènement majeur. Elle était ravie, certaine que je comprenais la portée du prodige puisque je voulais l'immortaliser... J'ai surtout voulu garder un souvenir de ces merveilles qui se manifestent souvent dans l'enfance et qui se font rares lorsque l'on grandit...

J'espère que , comme elle, comme moi, et que comme tous ceux qui ont gardé une part d'enfance, vous avez remarqué le fabuleux phénomène... Sinon, pas d'inquiétude, on vous donnera un petit coup pouce pour comprendre et ça reviendra vite.

Féroce !

Chère Madame V,

En attendant que jeune monsieur V ne déclame le poème réclamé, voici la réponse à la requête " plus de chat".

Sur le cliché on voit bien que l'animal n'a pas l'intention de bouger de là et que j'ai qu'à lui laisser mon bouquet.

C'est la fête...

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Originally uploaded by Missiz Jones.

Petite Miss a cassé sa tirelire. Elle est partie de bon matin, pendant que je dormais. A mon réveil , le bouquet de roses m'attendait. Et je suis éperdue de fierté devant son premier cadeau de "grande fille"autonome.

Je me souviens d'une inclusion de fleur dans une demi-sphère de verre, mon premier cadeau de grande pour ma maman. Je me souviens du courage qu'il m'avait fallu pour aller faire cet achat , seule et sans qu'elle le sache, alors que j'étais d'une timidité maladive, paralysante.

Pour la photo, j'ai tenté de persuader le chat d'aller se promener ailleurs. Il n'a pas cédé.

Pour le son, une chanson que j'adore et qui me fait pleurer, parceque la fête des mères c'est comme ça pour moi : le bonheur et le chagrin ensemble.

Formation accélérée

RIEN à faire pour poster des images sur blogger depuis hier soir...
J'en profite donc pour vous présenter le contenu d'un cours sur les métiers de la communication que je donnerai à la fac, si je n'ai toujours pas trouvé de boulot en 2012.
Merci à ma cousine qui m'a envoyé le draft, pardon, voilà que le jargon du métier revient au galop, je veux dire, l' ébauche du premier cours.

Imaginons que vous soyez une jeune femme :
1-Vous êtes dans une soirée. Vous voyez un mec qui vous plaît. Vous vous approchez et dites : « J'suis super bonne au plumard ».
Ça, c'est du Marketing Direct.

2-Vous êtes dans une soirée. Vous êtes avec des amis.Vous voyez un mec qui vous plaît. Un de vos amis va le voir et lui dit : « Tu vois cette nana, elle est super bonne au plumard ».
Ça, c'est de la Pub.

3-Vous êtes dans une soirée. Vous voyez un mec qui vous plaît, vous vous approchez, demandez son numéro de téléphone, vous l'appelez le lendemain et lui dites : « J'suis super bonne au plumard ».
Ça, c'est du Télémarketing.

4-Maintenant, vous êtes dans une soirée,vous voyez un mec que vous connaissez, Vous vous approchez, lui rafraîchissez la mémoire et lui dites : « Tu te souviens comment j'suis super bonne au plumard ».
Ça, c'est du Customer Relashionship Management.

5-Vous êtes dans une soirée, vous voyez un mec qui vous plaît, vous vous levez, arrangez un peu tenue et coiffure, vous vous approchez, lui sevez un verre, lui dites qu'il sent bon, qu'il est bien sapé, lui offrez un cigare et lui dites : « J'suis super bonne au plumard ». Ça, c'est du Public Relations.

Bon, vous n'arrivez à rien. C'est votre dernière chance. Vous êtes dans une soirée, vous voyez un mec qui vous plaît, vous vous approchez et lui dites : « J'suis super bonne au plumard » et en plus vous lui montrez vos seins.
ça, c'est du Merchandising.

Mais si vous êtes douée, vous êtes dans une soirée, un mec s'approche et vous dit : « J'ai entendu dire que t'es super bonne au plumard ». Ça, c'est le Branding, « Le pouvoir de la Marque ».

On ne range pas ses affaires, le cours n'est pas terminé , il reste cinq minutes.

Vous êtes un jeune homme.
Vous êtes dans une soirée, vous voyez une nana qui vous plaît, vous vous approchez et lui dites « J'suis une bête de sexe, j'suis super bon au plumard, et en plus je tiens toute la nuit ».
Ça, c'est de la publicité mensongère, et c'est puni par la loi.

Merci. Au prochain cours, travaux pratiques.

Plein soleil de 2h du matin

Pas du tout du tout du tout envie d'aller dormir ! Cela arrive lorsque j'ai passé une bonne soirée : je voudrais que cela ne se termine pas. Au programme de ce soir : Sushis, conversation très agréable, pièce de théatre et belle surprise ( une vraie de vraie bonne surprise, ça fait longtemps que cela ne m'était pas arrivé)...
Alors j'écoute de la musique pour prolonger la soirée. Et comme j'ai envie de danser, je me trémousse sur mon siège et même, comme si j'allais me chercher un verre d'eau, je me lève et sautille toute seule dans mon salon... Pourtant , il faut aller dormir ! Alors, voilà un post avec un nouveau radioblog et un paysage de soleil pour bâtir le décor mental de demain... Bon weekend !

Veni et vidi , vidi, vidi, vidi...

Bon. Encore quelques images du voyages en Italie, avec des mots cette fois-ci, sinon je vais me faire remonter les bretelles par Miss Green.

Miss Green, justement, à qui j'avais promis de boire là-bas un café en son honneur, elle qui traque le bon café autour de mon ex-agence et qui me faisait profiter de ses découvertes.

Alors je n'y suis pas allée avec le dos de la cuillère et j'ai commandé un" ristretto" dans un petit bar de Positano. Pour ceux qui ne connaissent pas un "ristretto" c'est un expresso très serré : deux petites gorgées pas plus. Mais quel nectar ! Je ne sais pas si j'ai eu de la chance ou s'il faut décidément admettre que les italiens font le meilleur café du monde... En tous cas, je me souviendrai toute ma vie de ce petit café qui avait tout d'un grand.

Le Vésuve. Coupable d'un méfait qui rapporte aujourd'hui notoriété et devises à la région. Comme quoi...

Capri, depuis le bateau pour rentrer à Sorrente. Parceque "Capri, c'est fini" comme chacun sait. ( Là, je sens que je vais me faire engueuler par Miss Green qui va vouloir des détails... En résumé, on a seulement eu le temps de grimper au sommet du Mont Solaro- 589m- en télésiège une place. J'étais, disons, moyennement à l'aise... Mais le peu que nous avons vu est très beau. Capri, c'est pas fini, en fait)

La presqu'île de Sorrente au soleil couchant, toujours en revenant de Capri. Des maisons et des hotels avec une vue imprenable sur la mer et, pour certains des escaliers creusés dans la roche pour descendre se baigner. Les plus pressés doivent pouvoir plonger de la fenêtre de leur chambre.

Procida. Nous avions pris un billet pour Ischia. Mais comme le bateau a fait étape là et qu'il était déjà tard, nous avons débarqué. Et voilà : ça a la couleur des maisons chez Mickey mais c'est pas qu'un décor. Très joli. On a bien fait de s'arrêter là.

Positano. Très touristique, rempli de boutiques de fringues et souvenirs. Descente vertigineuse jusqu'à la petite plage et là - heureusement- le guide du routard ne nous a pas trahi : après un petit chemin à l'ombre des pins, un resto tranquille, veranda arborée sur la mer, un délicieux plat de pâtes aux crevettes...le paradis.

Et , Positano. Pour faire bonne mesure, après le paradis, ce fût la montée infernale - boudiou que c'est haut- et la folie pour attraper un car qui nous ramènerait à Sorrente... Le premier ne s'est même pas arrêté - bondé à bloc- le deuxième, 45 minutes plus tard, a été pris d'assaut. Pas fou, le chauffeur a ouvert la porte arrière et a laissé les touristes s'étriper loin de lui. Nous avons renoncé et préféré rentrer avec "Gaétano de Positano", cheveux noirs, lunettes noires, berline noire, 60 euros - au noir.

Bon ,pour terminer, et au risque de heurter les âmes sensibles, un peu de culture.

Si j'avais mieux préparé mon voyage, j'aurai su. Mais non, c'est par pur hasard que mes yeux chastes et purs sont tombés sur ceci dans une ruine de Pompéi.

C'est que ça rigolait bien à Pompéi , dans le temps... Il y en avait plein des fresques comme ça. Pratiquement toutes transférées au Musée archéologique de Naples, que nous n'avons pas visité ( il FAUT donc que je retourne à Naples), dans "le cabinet secret" où elle furent tenues éloignées du public au gré des dirigeants plus ou moins prudes et hypocrites qui se succédèrent depuis la découverte de ces ...heu...trésors. Voilà voilà. Alors, heu...pour celles et ceux qui auraient une mauvaise vue, oui, le monsieur de la fresque est bien en train de peser ses attributs. Il s'agit peut-être d'une allégorie sur la question philosophique " mais que pèse un homme sur cette terre" ? ... Non, moi non plus, j'y crois pas... Je vous laisse méditer sur le sujet. Faites de beaux rêves.

Ange et Berger cherchent crèche avant Noël

Je crois ne jamais avoir fait de crèche pour Noël. J'ai de vagues souvenirs de celle chez mes grands-parents paternels mais c'est tout. En provence, les "santons" sont une tradition. A Naples, c'est une véritable institution. La scène de la nativité et,au de là, tout un petit monde de paysans, commerçants , artisans et même notables sont représentés dans des crèches géantes. Vers la fin du XIXième siècle, la création de ces figurines a été élevée au rang d'un art digne de figurer dans les musées. Et aujourd'hui, sans même les chercher, vous ne pouvez pas manquer les nombreuses échoppes qui hiver comme été vous ramennent à Noël. Certaines de ces figurines ont vraiment beaucoup de charme... Alors voilà , les Rois Mages rapportés pour un "crèche addict" de mes amis n'ont pas suffit. Pour moi, pour une Missiz Jones- qui- ne- fait- pas- de -crèches, je n'ai pu m'empêcher de rapporter un berger et un ange... Et,comme j'entretiens un rapport bizarre et enfantin avec les objets qui me plaisent, depuis, je me demande s'ils m'en voudront au prochain Noël, de ne pas leur trouver où crècher...

Elle est revenue vers 20h...

Elle a raconté avec humour les petits tracas (le poisson servi mal décongelé, le double salto au sortir de la douche...) avec fierté les exploits ( l'attraction de la mort au Futuroscope et l'assassinat de l'araignée maléfique), avec entrain les découvertes (la voile, la crevette mutante et la plante de moutarde)...
J'ai passé une soirée formidable. Et j'ai entrevu la magnifique jeune femme, belle, intelligente et drôle qu'elle est en train de devenir.

Ciao Napoli !

Blogger me joue des tours et avant de devenir chauve,
je me résigne à poster ce meli-mélo napolitain.
Il manque quelques beaux points
de vue de Positano, Sorrente ou Procida
... Ce sera pour une prochaine fois.

Pompéi, 4 mai 2006.

Tout a commencé par la silhouette fragile de ce vieux monsieur tout habillé de blanc, canotier sur la tête et canne à la main. Comme dans un film de Visconti. Comme dans "Mort à Venise". J'étais émue. La montée vers le site était très raide et il avançait relativement vite mais en chancelant légèrement . J'ai pensé au temps qui passe.




J'étais bien décidée à ne voir de Pompéi que le témoignage du passé, les restes d'architecture, le plan des rues, quelques fresques et objets rescapés. Je ne voulais pas voir les moulages des corps retrouvés. Le spectacle de la douleur, ce n'est pas pour moi. Je me suis donc méfiée en apercevant ça et là , dans des vitrines, la copie de ces corps torturés , bouche grande ouverte sur une dernière aspiration d'air empoisonné. Mais lui, m'attendait, par surprise, au milieu des poteries et statues protégées par des grilles. Parmi les films, photos, documentaires que j'ai pu voir sur Pompéi c'est cette image là qui m'a toujours le plus frappée. C'est cette image du désespoir qui m'a toujours le plus terrifiée.

Nous avons courageusement arpenté le site et, au soleil couchant, en revenant d'une Villa excentrée, "la villa des mystères", nous avons décidé d'ajouter à notre exploration une ou deux rues. Il y avait peu de monde, tout était silencieux, rien ne nous a alerté.
J'ai d'abord remarqué dans une ruelle deux hommes tournés vers le mur, téléphone portable à l'oreille et j'ai eu le temps de m'indigner sur la place prépondérante de ce satané objet, même là où il n'a rien à faire. Mais passé la ruelle, juste
après le mur de la maison suivante, il était là. Allongé sur le sol, ses pieds à 20 centimètres des miens. Un chute, j'ai pensé. Mais l'homme avait la chemise ouverte sur une longue cicatrice qui barrait son torse verticalement. Des personnes agenouillées auprés de lui semblaient s'affairer, j'étais déjà à dix pas de là, interloquée, certaine que c'était grave.

Un peu malgré nous, une demi heure plus tard, nous remontions la même rue menant vers la sortie. Deux ou trois uniformes, deux ou trois tenues de secouristes. J'avais du mal à avancer et ce n'était pas seulement à cause de la pente et de la fatigue. L'homme était à la même place. Il avait la couleur de la pierre, la couleur de la cendre . Sa femme, assise sur un muret, soutenue par, je l'espère, une amie, pleurait. Elle tenait la laisse d'un chien, couché sur le flanc, comme abattu.

Tout était silencieux. Nous avons peut-être parlé mais je ne m'en souviens plus. Je sais que nous avons pensé que c'était stupide de faire de telles visites quand on a subi une opération importante. Et puis nous avons pensé qu'il valait peut-être mieux mourir comme ça, vite, là, par une très belle journée,au cours d'un beau voyage.
A quelques mètres de la sortie, je l'ai vu. Mon dernier rendez-vous à Pompéi. Je l'ai dépassé et, alors que j' hésite toujours à photographier des inconnus, suis revenue sur mes pas, pour garder cette dernière image. Une consolation. Six, sept ou huit ans. Absorbé par la lecture d'un gros livre sérieux contrastant avec la posture et le pouce à la bouche. La jeunesse, la tendresse, le savoir, une réconfortante et belle image d'un avenir plein d'espoir.

Page blanche...

Oui, je suis revenue.

Enchantée par ce petit voyage qui aurait mérité d'être plus long tant il y a de choses à voir et savourer dans Naples et sa région.

Pourtant, j'ai du mal à écrire un post sur mes impressions et tournicotte autour de l'ordinateur depuis hier...

Certes, je suis paralysée par le froid et les seaux d'eau du ciel reçus depuis mon retour. Et puis, le chat, à qui, je pense, j'ai dû manquer, se couche sur mes bras, pose sa tête sur ma main, se colle entre moi et le clavier dès que je m'installe pour écrire...

Mais bon, là, j'ai mis un gros pull et autorisé le chat à dormir sur ma couette... Je suis tranquille et j'ai compris pourquoi je n'arrive pas à raconter la beauté des paysages, le soleil , la mer, le parfum des citronniers et des orangers...

Il faut d'abord que je débloque ma tête et que j'arrive à raconter la visite à Pompéi...

A Pompéi, où la mort était au rendez-vous.

Vous m'avez posé une question ? Suite et fin.

Bon, il faut terminer ce questionnaire laissé sur le feu.
Comme pour la première partie, je vais tricher, c'est sûr.
Mais comme il est tard, il y a une petite chance que j'abrège...

4 émissions télé que j'aime
Je suis assez téléphage.Mais le plus souvent pour regarder et reregarder des films. Des feuilletons américains aussi (les 4 premiers qui me vienent à l'esprit, là tout de suite : Desperate Housewives, Six feet under, Maison Blanche, Cold Case...).
A part ça quelques émissions comme Capital, Des racines et des ailes, Complément d'enquête et n'importe quel documentaire ( sauf animalier) , quand je tombe dessus et que le contenu m'accroche dans les 5 minutes.
Et puis, celles auxquelles je reste scotchée si je zappe dessus :
- "Question Maison": Filmée chez des quelqu'uns qui ont une maison ou appart original. Des séquences déco, artisans, et celle que je préfère : l'architecte de l'émission va chez un "vous et moi" pour résoudre son problème d'aménagement... Les plans et travaux sont réalisés sous yeux..magique)
- "Familles on vous aide" : Je suis tombée par hasard sur cette émission ricaine où une famille "méritante" mais dans les soucis va "pendre un nouveau départ" ...En une semaine, leur maison est rasée, une autre -somptueuse- est construite et entièrement aménagée, la famille est coachée et relookée ...ça dégouline de bons sentiments, faussement spontanné à souhait, c'est Bigger than life.. je suis fascinée.
- "Super Nany": tellement réconfortant de pouvoir se dire "c'était difficile parfois mais jamais si pire !"
- " Secrets d'actualité" ou assimilé : Cela remplace les films d'horreur que je ne regarde jamais.
Enfin,
- Kho-Lanta : notre rendez-vous estival avec Petite Miss. Il faut préciser que Petite Miss regarde chez sa nounou la chaîne que je ne regarde pratiquement pas. Elle me parle alors de ce qu'il faut absolument voir. Je dis oui ou non. Ex : Non pour le Loft, Oui pour la StarAc, Non pour l'Ile de la tentation, ouais pour Mon incroyable fiancé... Et parmi tout ce fatras : Kho Lanta. Notre rendez-vous de l'été : on regarde ensemble en juillet et, en août, cela nous rapprochait quand elle partait ailleurs...

4 endroits où je suis allée en vacances :
Oh la la... beaucoup de voyages, souvent trop courts parcequ'il faut vite retourner au bureau : L'Italie en pointillés (2 fois à Venise, Florence, Pise, Rome ...et bientôt Naples !), L'Espagne par petites touches ( Madrid, Segovie, Barcelonne...et Haro, petite ville de la dame qui nous gardait lorsque j'étais enfant), Montréal, Moscou et Saint Petersbourg, Marrakech, l'Irlande ... Allez, je choisis :
- Etats-Unis : plusieurs fois, et en particulier il y a 20 ans "on the road" avec deux copines pendant un mois. Même sponsorisées par les parents, le dollard était à dix francs, on a compté nos sous...Priorité transports, ensuite logement minimum et pour la nourriture : water -melon et pain de mie. Pendant un mois. Super souvenir. Le voyage que l'on ne fait pas deux fois.
- Indonésie : Bali, 2 fois. Une fois de trop puisque j'y ai eu beaucoup de chagrin , ce qui est un comble dans ce petit paradis. Et Java, la découverte de sites extraordinaires comme Borobudur et un des très rares "exploits" sportifs à mon actif : l'ascension du Merapi, de nuit, pour admirer le lever du soleil...Je suis arrivée juste à temps !
- Philippines : Des paysages magnifiques dont je n'ai vu qu'un petit échantillon car aller d'une île à l'autre ça prend du temps...en fin de séjour, une semaine sur une île magnifique et tranquille pour obtenir le PADI et bûcher l'exam en anglais au lieu de faire sieste sous les cocotiers . Et en repartant, escale de trois jours à HongKong " un jour, je vivrai là".
- Norvège : Bergen et les environs. Un fjord à la beauté époustouflante. Une copine de collège mariée là et ses deux bouts de chou. La vie avec eux...J'étais revenue boostée à bloc.

4 websites que je visite régulièrement
- Itunes
- expedia.fr, Go Voyages, Voyages-sncf
- Amazon.fr
- le site de ma banque très régulièrement et , depuis peu, celui de l'ANPE, l'APEC, Cadre-emploi...etc

4 aliments ou plats que je préfère :
- les gambas ( décortiquées, légèrement frottées à l'ail , avec un jus de citron vert , ou dans une soupe lait de coco/citronnelle) RRRHHHAAA !
- le sirop d'érable ( le vrai) sur des pancakes très épais ou , mieux, des blinis.
- les asperges vertes
- les cerises
Et la cuisine indienne ( aubergines, poulet tikka massala,cheese nan et thé à la cardamone) et les tajines et la cuisine mexicaine...
Et les plats que je ne mangerai plus : la "Bohémienne" et les tomates farcies de ma grand-mère maternelle, le couscous de ma grand-mère paternelle "appris" par ma mère.

4 endroits où je préfèrerais être là maintenant :
- dans mon lit, j'ai sommeil
- n'importe où avec ma mère et ma fille pour qu'elles se connaissent
- dans mon nouveau job, interessant, utile, compatible avec l'envie de voir bien grandir Petite Miss
- n'importe où en août, avec la certitude que Petite Miss n'ira pas là où elle ne veut pas.

ET ENFIN 4 bloggers à qui je passe le questionnaire ...
- Madame V http://madamev.blogspot.com/
- Jean-Noel http://lissuac.blogspot.com/
- Petite Miss http://petitchienbleu.blogspot.com/
et j'adorerais que Miss Highwood, Miss Green et Miss Flying ne se décident à ouvrir un blog - même éphémère- pour répondre à ces questions !